mardi 27 août 2013

Vendredi 16 août - Palm Springs - Los Angeles - Marseille

Itinéraire du jour : route très facile (Interstate 10). Quelques bouchons à l'approche de LA. Rien de dramatique. Paysage désertique, joli, puis rapidement urbain de banlieue sur des dizaines de miles.


Fini !
Une page de plus qui se tourne, un nouveau séjour enrichissant et plein d'aventures qui s'achève...
Ces trois derniers jours sont passés à toute allure, sans doute car nous n'avons qu'à nous soucier de manger et dormir...


Photo volée depuis notre chambre !
Une belle rencontre toutefois, d'un couple de français très intéressants, Ludovic et Thierry, qui tiennent une crèperie à Montmartre. Discussions intenses et échanges fructueux : nous avons de nouveaux amis !
Sandy, l'un des propriétaires, a été vraiment très chaleureux avec nous, contrairement aux années précédentes : il s'est montré un hôte parfait !
Ce matin, le départ a eu lieu un peu avant avant 8h30, après une courte nuit : nous avons discuté au bord de la piscine jusqu'à 2h30 ! 
Le voyage jusqu'à l'aéroport de LA a duré 2h30 environ, comme prévu, sans trop de soucis, même si le stress est un peu monté en tombant dans les premiers bouchons : on n'avait pas prévu de marge de manoeuvre (mais il était un peu tard pour s'en apercevoir).
Retour de la voiture ultra-rapide, navette pour l'aéroport sans tarder, 10 minutes plus tard nous voilà en route pour notre terminal. Heureusement qu'il n'y a pas eu d'anicroche !
Un détour par le duty free (clopes, alcool et parfum), formalités de douane, et il est l'heure d'embarquer.

Nous sommes au milieu de notre vol de retour de 10h30, quelque par à la hauteur d'Halifax, pointe est du Canada...

Il est évident que nous reviendrons, comme il est évident que nous avons besoin de respirer. Nous n'en avons que très peu parlé, mais c'est véritablement une évidence ancrée. Nous aimons ce pays, ces peuples, et nous avons besoin de cette respiration dans nos vies chargées...
Gare TGV de Roissy-Charles de Gaulle (un grand bordel tout droit sorti de l'imagination tordue d'un architecte qui ne voyage jamais et qui ne porte jamais ses valises)

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